A quoi cela sert-il d’avoir une bonne fiduciaire ?

14 décembre 2012

A quoi cela sert-il d’avoir une bonne fiduciaire ?

Combien d’entrepreneurs préfèrent tout faire seuls plutôt que de confier une partie de la gestion à des tiers spécialisés ? Souvent, quand on a créé une chose, on se dit qu’on est la seule personne à pouvoir amener cette entreprise ou ce produit dans la « bonne » direction. Ainsi, on se dit que personne ne nous comprend et qu’on est obligé de tout faire soi-même pour que cela fonctionne. Or, on ignore bien souvent qu’il existe des métiers qui ne sont là que pour se mettre à disposition de l’entrepreneur, pour lui faciliter la vie et lui faire gagner du temps. C’est le cas, par exemple, des fiduciaires.

D’un point de vue étymologique, fiduciaire signifie « confiance ». Lorsque l’on parle d’une fiduciaire aujourd’hui, on évoque bien souvent une personne physique ou morale à qui on transfère des tâches souvent administratives, mais aussi la comptabilité, la gestion de comptes bancaires, la domiciliation d’entreprises et même la gestion de fortune. Toutes ces prestations fournies dans le mandat de fiduciaire sont, bien entendu, réalisées dans l’intérêt du mandant ou dans un autre but déterminé.

Pour prendre un exemple, on a en Suisse et plus particulièrement à Genève la Swiss Financial Company & Trust. Cette société établie depuis 1989 propose son expertise dans la gestion de sociétés financières suisse afin d’accompagner les entrepreneurs dans toutes les démarches juridiques, fiscales et administratives. Certaines fiduciaires agissent comme de toutes petites banques en proposant des services similaires. C’est le cas de la Swiss Financial Company.

En effet, cette entreprise genevoise propose des services d’émission de papiers-valeurs, tant des actions que des obligations. L’avantage de ce type d’entreprises, c’est qu’on s’adresse directement à des experts qui comprennent la situation des entrepreneurs et les aide à gérer, à évoluer grâce à la confiance basée sur un service et une expertise « Made in Suisse ».

Benjamin Hartmann/ Rédacteur pour le magazine Le Monde Economique

 

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